LE JOUR J EST ARRIVE

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Date de dernière mise à jour : 22/11/2023

Commentaires

  • Néo

    1 Néo Le 14/11/2024

    En réponse à l'image publiée :

    L'écart entre les principes constitutionnels français et la description de la réalité dans le rapport semble effectivement exister, comme le révèlent plusieurs éléments relevés dans les sources.
    1. Corruption
    La corruption en France est un phénomène préoccupant. Bien que la France soit classée 20e à l'Indice de Perception de la Corruption 2023, elle stagne depuis des années, avec un score de 71/100, identique à celui de 2013. Ce manque de progrès est attribué à l'absence d'une politique forte de lutte contre la corruption et à un pouvoir exécutif qui manque d'exemplarité (https://transparency-france.org/2024/01/30/indice-de-perception-de-la-corruption-2023-de-transparency-international-la-france-stagne-encore-la-faute-au-manque-dexemplarite-du-pouvoir-executif-et-au-manque-dindependanc/).De plus, des affaires récentes montrent que la corruption touche même des agents publics et des magistrats, ce qui mine la confiance dans les institutions judiciaires. (https://www.rcf.fr/articles/actualite/alerte-sur-la-montee-de-la-corruption-en-france).
    2. Incompétence et duperie
    Le rapport met également en avant l'incompétence et la duperie comme des armes utilisées par l'État. Des critiques sont envoyées à l'autorité judiciaire, notamment en raison du manque de moyens accordés aux institutions comme le Parquet national financier (PNF). Bien que ce dernier ait enregistré une augmentation des condamnations pour corruption en 2023, il reste sous-doté par rapport aux enjeux financiers des affaires traitées. https://www.decideurs-magazine.com/droit/57449-la-corruption-en-france-ne-recule-pas.html
    Ce manque de ressources peut être perçu comme une forme d'incompétence institutionnelle.
    3. Numérisation
    Le rapport fait également référence à la numérisation comme une arme potentielle. Cela pourrait faire écho aux préoccupations soulevées par certaines réformes législatives qui ont renforcé les mesures de surveillance numérique dans le cadre de la lutte contre le terrorisme. En effet, des lois récentes permettent des mesures intrusives telles que les visites domiciliaires ou le gel d'avoirs financiers pour prévenir des actes terroristes. https://www.dgsi.interieur.gouv.fr/decouvrir-la-dgsi/nos-missions/lutte-contre-terrorisme-et-extremismes-violents/la-reponse-de-letat
    Ces mesures peuvent être perçues comme une atteinte aux libertés individuelles, créant un décalage avec les principes constitutionnels de souveraineté populaire et d'égalité devant la loi.
    Conclusion
    En somme, l'écart dénoncé dans le rapport semble bien réel. Les principes constitutionnels d'égalité, de souveraineté populaire et de respect des droits semblent parfois compromis par des pratiques institutionnelles marquées par la corruption, un manque de moyens et une surveillance accumulée au nom de la sécurité nationale.
  • Néo

    2 Néo Le 14/11/2024

    Réponse à OLIVIER :

    Il est important de clarifier certains points et de remettre les choses en perspective :
    La situation actuelle en France n'est pas une dictature. La France est une démocratie avec un système judiciaire indépendant, des élections libres et régulières et des institutions démocratiques fonctionnelles.
    Les allégations concernant un supposé « Nuremberg 2.0 » et les actions de Reiner Fuellmich ne sont pas fondées sur des faits avérés. Il s’agit plutôt de théories du complot sans base juridique ou factuelle solide.
    Reiner Fuellmich n'a pas été "piégé". Il fait l'objet d'accusations sérieuses de détournement de fonds, qui sont examinées par la justice allemande selon les procédures légales en vigueur.
    SOURCE : https://www.heidi.news/sante/nuremberg-2-0-les-createurs-de-ce-pseudo-proces-se-bouffent-le-nez-pour-des-millions

    Il est crucial de s'appuyer sur des sources d'informations fiables et vérifiées plutôt que sur des rumeurs ou des théories non fondées.
    Dans une démocratie, les désaccords et les préoccupations doivent être exprimés par des voies légales et démocratiques : le vote, la participation civique, les manifestations pacifiques, ou les recours juridiques appropriés.
    La diffusion d'informations non vérifiées ou de théories du complot peut être dangereuse et contribuer à la désinformation.
    Plutôt que de chercher une "stratégie" basée sur des suppositions fondées, il serait plus constructif de :
    S'informer auprès de sources fiables et diversifiées.
    Participer de manière constructive au débat démocratique.
    Soutenir et renforcer les institutions démocratiques existantes.
    Encourager l'esprit critique et la vérification des faits avant de partager des informations.
    Il est important de garder à l'esprit que les systèmes démocratiques, bien qu'imparfaits, offrent des mécanismes légaux et pacifiques pour exprimer des désaccords et rechercher des changements sociétaux.

    Réponse à MISTIFAE :

    Je comprends votre frustration face à ce que vous percevez comme des injustices ou des dysfonctionnements du système judiciaire. Cependant, il est important de garder une perspective équilibrée et de ne pas tomber dans des interprétations extrêmes ou des actions illégales. Voici quelques points à considérer :
    Le système judiciaire français, malgré ses imperfections, fonctionne selon les règles et procédures établies. Les accusations de corruption généralisée ou de non-respect systématique des lois sont souvent exagérées.
    Les concepts de « souveraineté individuelle » ou de « loi négative » n'ont pas de base légale en France. Se déclarer « souverain » ne vous place pas au-dessus des lois de la République.
    Prendre la justice entre ses mains ou menacer des représentants de la justice est illégal et peut avoir de graves conséquences.
    Il existe des voies légales pour contester des décisions de justice ou signaler des comportements inappropriés des magistrats :
    Vous pouvez faire appel des décisions de justice.
    Le Conseil supérieur de la magistrature peut être saisi pour des plaintes concernant le comportement des magistrats :
    http://www.conseil-superieur-magistrature.fr/requetes-des-justiciables

    Des recours pour excès de pouvoir peuvent être introduits devant les tribunaux administratifs dans certains cas:
    https://ing-avocat.legal/article/recours-en-exces-de-pouvoir-tout-ce-qu-il-faut-savoir

    Si vous pensez avoir épuisé toutes les voies de recours nationales, vous pouvez envisager de saisir la Cour européenne des droits de l'homme, mais seulement après avoir épuisé tous les recours internes.

    Il est recommandé de consulter un avocat spécialisé qui pourra vous guider sur les options légales à votre disposition.

    Vous pouvez également contacter des associations de défense des droits des citoyens ou des parlementaires pour soulever vos préoccupations de manière constructive.

    L'important est de rester dans le cadre légal et de chercher des solutions constructives plutôt que d'utiliser à des actions illégales ou à des théories non reconnues par le droit français. La patience et la persévérance dans l'utilisation des voies légales sont souvent les meilleures approches pour résoudre les conflits avec le système judiciaire.

    Réponse à SEUGET :
    Le document sur les 12 preuves... sont une interprétation erroné (voir qui est l'auteur, voir combien de procès il a gagné et définir si vous pensez que ça vaut le coup).
    Sachez que dans l'édition des "12 preuves" seul deux éléments sont intéressants :
    - L'écrit sur l'URSAFF et le CGI mais
  • Néo

    3 Néo Le 14/11/2024

    Réponse à CRIS MOU:
    J'ai répondu expressément dans le forum aux 12 lois ... qui sont justes erronées dans leurs compréhension.
    Il y a des abus mais faut pas non plus ramener un monde parallèle sur Terre, LA CONSTITUTION EXISTE ET ENCORE APPLIQUEE:

    La Constitution est toujours en vigueur : La Constitution française du 4 octobre 1958 reste le texte fondamental de la Ve République. Elle a été récemment modifiée, comme le montre la loi constitutionnelle n° 2024-200 du 8 mars 2024 relative à la liberté d'utiliser à l'interruption volontaire de grossesse.
    Les services publics existant toujours : Bien que des débats existant sur leur évolution, les services publics continuent de fonctionner en France. Des discussions sur leur rôle et leur importance sont en cours, comme le montrent les publications du think tank "Le Sens du service public".
    La séparation des pouvoirs : Ce principe fondamental reste inscrit dans la Constitution française. L'article 16 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789, intégrée au bloc de constitutionnalité, stipule : « Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminés, n "un point de Constitution".
    Débats et inquiétudes : Il est vrai qu'il existe des débats et des inquiétudes concernant l'avenir des services publics et le fonctionnement des institutions, notamment dans le contexte politique actuel. Cependant, ces débats font partie du processus démocratique et ne signifient pas l'absence de Constitution ou de services publics.
    Évolutions et réformes : Des propositions de loi et des débats sur l'évolution des services publics et des institutions sont en cours, comme le montre la proposition de loi constitutionnelle n° 2717 déposée récemment à l'Assemblée nationale.
    En conclusion, bien que des défis et des débats existants, la Constitution française reste en vigueur, les services publics continuent de fonctionner, et le principe de séparation des pouvoirs demeure un fondement de notre système démocratique. Il est important de rester vigilant et engagé dans ces débats pour contribuer à l'évolution et à l'amélioration de nos institutions.
  • mistifae

    4 mistifae Le 30/07/2024

    Que faire après avoir écrire toutes sortes lettres, en citant des lois, et cela monte aux juges qui sont banquier, et le procureur qui fait partie de tout cela et dit "qu'il n'y a pas de code pénal, et on est renvoyé plus profondément dans cette folie et corruption? Si l'on menace dans une lettre type, ils s'en foutrent car on les menace avec les confrères de copinage, et serments aux FM, donc quand on a tout essayé, et malgré le faits que c'est leur lois, ils ne respectent pas. Est'ce qu'on peut vraiment le tenir responsable? En tant que souveraine, peut-on juste faire notre judgement (loi négative), si oui, comment faire?
  • Seuget

    5 Seuget Le 27/05/2024

    Bonjour, j'aurai voulu savoir si vous aviez les 12 preuves que la Vème République n'existe pas en réalité ?
  • Cris Mou

    6 Cris Mou Le 08/12/2023

    Il ni a plus de constitution, du moins il ni a plus de service public pour l'activer en dehors du fait qu'il ni a pas de séparation de pouvoir...
  • Oliver

    7 Oliver Le 24/11/2023

    D'accord pour les informations mais en dictature comment fait on pour appliquer ces textes ?
    Que devient le travail de Fullmich avocat qui a été piégé par ces êtres sans âmes qui continuent leur marche sanglante
    Je partage à tout mes réseaux mais j'espère que vous avez une stratégie pour cela

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